COMMENT FAIRE POUR PROGRESSER EN PEINTURE ?

une vision personnelle de la peinture par NicoPrime

 

Je reçois beaucoup de messages de personnes qui me demandent comment progresser dans leur façon de peindre. Bien que cette question soit complexe je vais essayer d’y apporter une réponse détaillée (en fonction de mon expérience personnelle).

Si vous aussi vous pensez pouvoir apporter des éléments de réponse, n’hésitez à laisser un commentaire.

Progresser ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Pour faire simple c’est faire / peindre mieux. Mais mieux c’est vague. Tout dépend d’où l’on part. Faire mieux pour un peintre totalement débutant ne sera sans doute pas du tout la même chose que pour un peintre confirmé. C’est pour ça que je préfère parler de notion d’objectif plutôt que de progression. Et il n’y a pas de limitte à votre marge de progression et donc aux objectifs que vous pouvez vous définir. Ne laissez personne vous faire penser le contraire ! Si vous vous donnez vraiment les moyens de remplir vos objectifs, que vous travaillez sérieusement et avec application dans ce sens, vous progresserez !

Pour progresser il va donc falloir que vous vous définissiez un ou des objectif(s). Et Pour atteindre un objectif il vous faudra passer par plusieurs étapes :

1. (Pouvoir) visualiser cet objectif.
2. Comprendre les moyens qui vont permettre d’y arriver.
3. S’entrainer à réaliser ses moyens.
4. Comparer son résultat.
5. Identifier ses erreurs.
6. Répéter … recommencer … refaire … pratiquer…
7. Pour enfin maîtriser et chercher à progresser vers un nouvel objectif.

Si je devais comparer ce processus, je dirais que c’est un peu comme lorsqu’on apprend à conduire une voiture :

Notre objectif est à priori simple : se déplacer du point A ou point B sans difficultés grâce à la voiture. Mais avant de pouvoir réaliser cela, non seulement vous allez devoir comprendre comment fonctionne une voiture, mais aussi à quoi servent les pédales, le volant, la boite de vi- tesse, les rétroviseurs … mais, ensuite, vous devrez apprendre à les utiliser correctement, savoir quand les utiliser ou comment coordonner vos mouvements, etc. Et une fois que vous aurezsuffisamment de pratique, vous passerez un examen où vos performances, réactions, gestes se- ront évaluées. En cas d’échec vous devrez être capable de comprendre et corriger les points qui vous ont fait défaut. Et un jour à force de comprendre et de pratiquer vous finirez par maîtriser la conduite. Mais après un certains temps de pratique vous ne vous poserez même plus la question de comment je passe mes vitesses, comment j’effectue telle ou telle manœuvre. Vous le ferez tout simplement ! De façon naturelle et sans y réfléchir du tout.

Pour la peinture c’est pareil. Et n’en déplaise à certains pressés, il n’existe malheureuse- ment pas de raccourcis ou de moyens infaillibles qui permettraient d’arriver à un résultat ma- gique sans aucuns efforts ou en 15 fois moins de temps que nécessaire.

Je pense que c’est avant tout la motivation qui va vous donner la résistance (qui est pour moi le seul véritable « talent ») nécessaire à l’accomplissement de ce voyage vers votre objectif.

Le processus est long car il existe beaucoup d’éléments qui vont venir mettre un frein à votre motivation et assez peu qui vont la booster.
C’est indéniable, nous avons tous une vie en dehors de la peinture, une famille, des amis, des occupations et des obligations diverses et variées qui peuvent très facilement nous détourner de la peinture.
Mais si vous souhaitez réellement progresser, vous trouverez le temps de concilier tout cela ! Vous trouverez des moyens pour contourner les difficultés, vous réussirez à vous dégager du temps, à investir un peu d’argent dans les outils et le matériel nécessaire et à vous concentrer sur votre objectif.

Une fois que cela sera fait vous pourrez commencer le voyage. Et ce voyage va essentiel- lement se passer depuis votre zone de confort, c’est à dire ce que vous savez déjà faire, vers ce que vous ne savez pas encore faire. Appelons ça la zone d’espérance.

Cette zone d’espérance peut bien évidemment, selon votre niveau actuel, varier d’une personne à l’autre. Cette zone d’espérance se termine là où commence ce que l’on va appeler la zone de stress qui elle va regrouper tout ce qui peut vous faire peur ou vous faire perdre tous vos moyens et voire même vous démotiver.

Si je reprends mon exemple de la conduite d’une voiture, au tout début, le simple fait de passer une vitesse faisait peut-être partie de votre zone de stress. Votre zone de confort étant de simplement démarrer la voiture et de la garder à l’arrêt… C’est exactement comme la première fois que vous avez mis de la peinture sur une figurine. Tant que la peinture était dans les pots … vous ne paniquiez pas. Ensuite cette peinture s’est retrouvée sur la palette … mas là aussi vous avez pris de l’assurance, déplacant ainsi votre zone de confort. Ensuite sont venus les premiers coups de pinceaux et ainsi vous avez graduellement franchi les étapes…

Malgré vos diverses appréhensions vous vous êtes lancés. C’est le plus important. Du coup votre zone d’espérance et votre zone de stress se sont déplacées vers quelque chose de plus « compliqué » : faire un bel a-plat, puis faire un lining, et ensuite faire un dégradé, un OSL, une conversion … etc.
Par conséquent, c’est ce passage de votre zone de confort vers votre zone d’espérance qui va vous faire progresser.

Si vous vous définissez des objectifs qui ne vont pas aller jusqu’à votre zone de stress vous progresserez. Prenez bien le temps d’avancer sans aller trop vite… sinon vous risquez de vous dégoûter à force de ne jamais réussir à atteindre vos objectifs. Alors certes nous n’assimilons pas tous les choses à la même vitesse, mais forcer les étapes ne vous apportera pas grand chose.

Vouloir peindre dès votre première ou même votre 5ème figurine des choses complexes qui demandent une bonne compréhension et une grande technique va créer des frustrations qui ne serviront pas votre objectif. C’est comme si vous vouliez gravir une montagne en seule- ment 3 pas. Même si vous visualisez bien le sommet, il n’empêche que vous allez devoir parcourir chaque mètre qui vous sépare du sommet. De plus durant le trajet vous allez très certainement trébucher, tomber ou encore devoir faire demi-tour pour trouver un passage plus accessible. Ces « échecs » font parti du voyage et je vous garanti qu’il vous feront tout autant progresser que les moment où tout c’est passé sans aucun problème.

Sachez d’avance que le chemin sera long, préparez-vous y et utilisez ce temps pour décou- vrir ce qui va vous passionner le plus dans la peinture. Tirer profit de vos erreurs comme de vos succés pour approfondir chaque aspect de la peinture. Vous serez forcément gagnant au final.

Au départ, déterminer un objectif de peinture va dépendre du type de peintre vous êtes ou que vous voulez être. Bien entendu, rien ne vous empêche de passer d’un genre de peintre à un autre à tout moment… Sachez juste que le chemin à parcourir selon le type de peintre que vous voulez être n’est pas du tout le même.

Êtes-vous :

Un peintre d’armée ?
Ce qui prime pour vous c’est le jeu plus que la peinture.
Ce qui vous importe est d’atteindre un niveau / résultat minimum et si possible avec le moins de temps possible tout en ayant un résultat d’ensemble correct.
Votre objectif est donc ce que l’on appelle le Tabletop : une figurine qui posée à 80cm de vous sera lisible et convaincante.

Un perfectionniste ?
Même si vous êtes aussi un joueur, vous voulez avant tout obtenir un résultat en peinture qui soit d’une qualité constante. Mais vous n’êtes pour autant pas prêt à y passer des semaines entières. Votre objectif est donc un Tabletop + : une figurine qui placée à environ 30 ou 40cm est suffisam- ment détaillée et lisible pour être convaincante.

Un peintre d’exposition ?
Ce que vous recherchez n’est ni plus ni moins que la perfection en peinture ? Un réalisme quasi absolu ? Des enchaînements parfaits ? A raconter une histoire ? A avoir une atmosphère globale ? Le temps et le jeu vous importent moins que la qualité, la finesse, et le rendu final.
Votre objectif est donc d’obtenir des pièces d’exception avec le meilleur rendu possible à très courte distance, voire même à la loupe.

Que vous soyez un peintre d’armée, un perfectionniste ou d’exposition, vous aurez vous aussi une zone de confort, d’espérance, de stress. Même si vos objectifs de peintures vont être différents selon le type de peintre que vous souhaitez être, pour progresser dans votre type de peinture il va falloir savoir sortir de votre zone de confort et approfondir votre zone d’espérance.

Le peintre d’armée va peut-être avoir comme objectif d’obtenir un résultat en deux fois moins de temps, le perfectionniste de faire des dégradés plus propres et le peintre d’exposition de mieux gérer sa lumière au global. Donc fixer vous un premier objectif en fonction de votre besoin / niveau … et lancez-vous ! Sortez de votre zone de confort. Jusqu’à ce que votre zone d’espérance devienne votre nouvelle zone de confort. Puis recommencez… encore et encore !

Une des façons les plus simples pour commencer à progresser c’est avant tout de décou- vrir de nouvelles techniques. Pour cela internet sera votre meilleur ami.

Sur les réseaux sociaux vous pourrez voir le travail d’autres peintres (de votre niveau ou bien au dessus du votre). Profitez de ce que vous pouvez y trouver pour vous en inspirer. N’hési- tez pas à demander des conseils aux peintres qui vous inspirent ou à l’ensemble de la commu- nauté. Puis testez, essayez les différents conseils que l’on peut vous donner.

Revenez ensuite et postez le résultat de votre travail. Écoutez les conseils constructifs et bienveillants. Ignorez ceux qui ne vous apportent rien (ils sont souvent le fruit soit d’une jalousie soit de bêtise humaine). N’ayez pas peur de montrer vos premières figurines ! Si vous pouviez voir mes premières, je pense que vous poufferiez de rire… Et cela n’a rien à voir avec mon niveau d’aujourd’hui …

Ensuite, toujours sur internet, la phrase « comment faire pour peindre xxxx » va devenir votre recherche google favorite. A partir de là vous aurez accès à de nombreux tutos, de pas à pas et divers autres guides. Regardez-les, testez-les et tirez-en les conclusions qui vous seront utiles. Puis retournez montrer les résultats que vous obtenez sur les réseaux sociaux …

Un des conseils que je peux ensuite vous donner pour progresser sera de changer de figurines. A ne peindre que du Space Marines, par exemple, il y a tout une partie de la peinture qei vous ignorerez. La variété sera votre allié ! Essayez donc de changer d’échelle par exemple, peignez un buste, un décors… Vous découvrirez que de nouvelles techniques s’ouvrent à vous et que vous pourrez les reporter plus tard sur vos chers Marines.

Pour finir, arrivent les peintures… Vous pouvez tout à fait vous contenter d’une seule marque de peinture pour tout peindre. Mais apprendre à maitriser les spécificités d’autres marque que votre peinture habituelle vous permettra sans doute aussi de faire de nouveaux progrés et de remplir d’autres objectifs.

Si vous préférez les contacts humains réels aux froids échanges d’internet vous pouvez aussi vous rendre dans des associations où des clubs de peinture, là des peintres plus expéri- mentés pourront vous guider et vous donner des conseils que vous pourrez mettre en pratique avec eux. Vous pouvez également prendre des cours avec un professionnel qui vous transmettra son savoir et ses techniques en vous expliquant et vous montrant les choses. Il pourra aussi vous «corriger» au besoin. Renseignez-vous autour de vous pour savoir qui contacter puis discutez avec ces peintres et exposez-leur ce que vous cherchez…

Quelles que soient les méthodes que vous emploierez, une fois que vous disposerez d’un certain panel de techniques vous apprendrez (à force de les mettre en pratique) à les maîtriser et serez sans doute capable de peindre plus que correctement pour un peintre perfectionniste. Mais si vous souhaitez pousser vers la peinture d’exposition il vous faudra entamer un chemine- ment qui sera sans doute tout aussi long que le précédent.

Arrivé à ce stade le meilleur moyen de progresser sera de commencer par regarder ce que font les autres peintre d’exposition. Nous avons aujourd’hui la chance d’avoir une commu- nauté importante et des médias sociaux avec un contenu à profusion. Donc regardez ce que vous montrent les grands peintres renommés et inspirez-vous d’eux pour parfaire vos connaissances et affiner vos techniques.

En regardant ce qu’ils font il vous faudra apprendre à savoir voir et comprendre ce qu’ils vous montrent. Sachez repérer les parties qui vous intéressent, que vous aimeriez reproduire, les parties dont vous arrivez à deviner la technique sous-jacente, mais aussi et surtout toutes celles où justement vous ne comprenez pas comment ces peintres arrivent à de tels résultats…

Savoir analyser une figurine sera en grande partie ce qui vous permettra de comprendre com- ment remplir vos nouveauxobjectifs et accomplir telle ou telle tâche de peinture. Bien entendu vous pouvez aussi demander directement à ces peintres comment ils ont procédé. Mais tous ne vous répondront pas, ou bien vous ne comprendrez pas réellement leur réponse.

Bien souvent, ce sont les couleurs employées plus que les techniques en elle même qui vous permettront d’obtenir un résultat similaire. Donc, passez les photos de ces réalisations dans un outil comme photoshop. Cela vous permettra de voir la moindre nuance de couleur utilisée. Essayez ensuite de trouver des teintes approchantes et tentez de reproduire leur travail.

En chemin vous découvrirez peut-être même des techniques qui vous seront propres ou des associations de couleurs improbables mais qui pourtant fonctionneront.

Vous pourrez ensuite poursuivre en observant les travaux de peintres qui ne sont pas issus de la peinture sur figurines. Les peintres sur toiles, les maquettistes de tous bords ainsi que de très nombreux autres artistes. Apprenez à reconnaitre les parties de leurs techniques que vous pourriez détourner à votre avantage.

Enfin, une des dernières façon de procéder sera (et ce à n’importe quelle phase de votre parcours) de participer à des concours de peinture. Que ce soit en local dans votre village, dans votre ville ou votre région, de nombreux magasins proposent des petits concours qui vous feront vous confronter aux autres peintres. Peintres avec qui vous pourrez échanger sur la technique, les couleurs … leur vision de la peinture. C’est de ces échanges que naîtront des idées que vous pourrez vous approprier.

Lorsque vous aurez écumé ces petits concours, essayer des concours de plus en plus prestigieux, avec de plus en plus de participants. Vous continuerez d’apprendre et donc de progresser !

J’aimerais vous dire que tout cela a une fin… Mais je pense très sincèrement que l’on n’arrête jamais d’apprendre ou de découvrir de nouvelles choses en peinture. Donc ? … Maintenant qu’attendez-vous pour sortir de votre zone de confort et découvrir votre zone d’espérance ? Et commencer à progresser en peinture ? 😉

Si je devais faire une sorte de programme pour progresser, je m’interrogerais sur ces diverses questions et je les travaillerais dans  cet ordre :

– Le matériel ?

Quel outil pour quelle tâche ? Ai-je le bon outil ?

– La posture ?

Existe t’il des positions plus adaptés pour mieux peindre ? Puis-je gagner en stabilité ou en sou- plesse ? En quoi la respiration influe sur la peinture ?

– Les différents types de peinture ?

Pour quelle utilisation ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Les a-plats de base ?

Comment je fais pour obtenir de beaux a-plats ? Cela fonctionne t’il avec toutes les couleurs ? Y a t’il un sens ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Les a-plats fins ou des voiles transparents ?

Comment je fais un a-plat fin ? Comment je fais un voile de couleur ? Avec un shade ou un lavis ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Être précis / Améliorer ma précision ?

Comment je fais pour gagner en précision et peindre des détails ? Quelles postures adopter ? Quel matériel utiliser ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Faire des traits ?

Petits ou grands traits ? Est-ce pareil ? Comment ne pas dévier ? Comment corriger une erreur ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Les linings (edge highlinning) ?

A quoi vont me servir les linings ? Comment je les réalise ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– La lumière ?

Savoir comment la lumière va interagir avec les volumes est pour moi ce qui constitue la base de tout ce qui va suivre. Cela va (dans un certains sens) déterminer les couleurs mais aussi la façon dont vont se propager les dégradés… etc. Dois-je effectuer un sketching ou travailler dans la masse ?

– Les couleurs ?

Existe t’il une théorie des couleurs ? Suis-je obligé de l’appliquer ? Est-ce que je cherche la stabi- lité ou un sens artistique ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Dégrader des traits ou des linings ?

Quel est l’intérêt de dégrader un trait ou ses lining ? Comment les appliquer ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Les dégradés ?

Pourquoi utiliser un dégradé ? Cela fonctionne t’il avec toutes les couleurs ? Quelles techniques sont possibles pour « fusionner » les couleurs ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– La peau / la matière organique ?

Comment rendre vivante une peau ou une matière organique ? Existe t’il des règles ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? De peinture ? Quelle dilution ?

– Les textures ?

Comment rendre certaines surfaces texturées ? Comment leur donner vie ? Cela fonctionne t’il pour toutes les textures ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

– Les matières ?

Existe t’il des recette pour recréer certaines matières ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Pein- ture ? Quelle dilution ?

– La micro peinture ?

Jusqu’à quel niveau de détail je peux aller en peinture ? Est-ce que cela créer une différence ? Quelles techniques sont le plus adaptées ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quels outils ? Quelle dilution puis-je utiliser ?

– Donner une atmosphère ?

Est-ce que je cherche à intégrer une atmosphère d’ambiance ? Comment y parvenir ? cela modi- fie t’il mes dégradés, mes textures , mes linings, mes a-plats ?

– les freehands ?

Comment et pourquoi faire un freehand ? Comment se simplifier le travail ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quels outils ? Quelle sera ma dilution ?

– Les sources lumineuses secondaires (OSL) ?

Comment intégrer une autre lumière ? Avec quelles règles ? Quelles couleurs ? Avec quel(s) type(s) de pinceau(x) ? Quelle dilution ?

Une fois que vous saurez répondre avec précision à toutes ces questions et que vous maitriserez les différentes techniques qui y sont associées … votre niveau devrait déjà être convainquant. Il ne vous restera plus qu’a affiner encore et encore tout cet ensemble pour pouvoir encore progresser.

Bon courage ! Bonne peinture ! Et à très bientôt 😉


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